vendredi 18 juillet 2025
Ricardo Porro enfin !
mercredi 9 juillet 2025
le socialisme et l'écologie rouennais détruisent des Monuments Historiques
Le Socialisme et ses complices les écologistes sont, de fait, maintenant, des destructeurs assumés de Monuments Historiques.
Mayer-Rossignol et El Khili ont donc laissé les pelleteuses détruire du Patrimoine. Vous me direz, en Seine Maritime et dans l'ancienne baronnie de Fabius ça devient une habitude de détruire le Patrimoine en faisant toujours semblant de le faire pour ce que eux appellent "la bonne cause".
L'esprit village...Patri-washing.
Détruire les Verre et Acier de Marcel Lods, qui étaient donc classés donc Monuments Historiques, c'est donc fouler du pied les institutions qui ont fait ce classement, c'est afficher un mépris honteux pour cette histoire, pour le fonctionnement des institutions patrimoniales et pour leur neutralité. On s'étonne d'ailleurs aussi du silence assourdissant de leur part... Leur part c'est la peur ? Peur de dire quelque chose ?
De l'Aitre Saint Maclou devenu un centre commercial à ciel ouvert pour bobos achetant une poterie en passant par l'église Sainte Bernadette de Grand Quevilly (dont les oeuvres de Szekely furent sauvées sous les pelleteuses) en passant par la "transformation " du Palais des Consuls ou le foyer des travailleurs, on assiste donc de la part du Socialisme rouennais et normand et ses complices écolos à une véritable politique organisée en destructeur bienveillant du Patrimoine.
Aucun désir d'étudier l'héritage, de questionner sa réhabilitation*, de fonder un travail de recherches et de solution, on commence d'abord par user l'héritage en le nommant "verrue" puis vient le discours lénifiant habituel de la gauche bourgeoise qui fait semblant d'agir pour les "petites gens" alors qu'elle veut gentrifier à tour de bras avec les complices des merveilleux architectes de la...COGEDIM....pauvre gauche...pauvre gauche....qui imite finalement la droite macronienne du Havre...Même Patri-Washing à l'oeuvre. Même esprit petit bourgeois.
Allez voir leur projet c'est à mourir de rire tant du point de vue architectural que urbanistique, un ramassis de merdes à balcon sur fond d'aquarelle pixelisée. Le rêve du monde Mayer-Rossignol enfin dévoilé. D'une tristesse affligeante, petites ambitions du care pour politique urbaine soignée par des parterres de fleurs et de toits végétalisés.... On attend déjà avec soulagement les premiers tags.
Le "blossom Park" est à mourir...de rire. Allez voir les images de ce rêve de la bourgeoisie moyenne. Mais qui a enseigné à ces architectes de tels rêves ?
Les écolos eux sont contents Il y aura des arbres...et on inaugurera l'ensemble avec la veste d'un tailleur vert pomme pour être certaine que le bon peuple reconnaitra les siens à moins que ce soit une veste de camouflage pour disparaitre dans les buissons en cas de contestation populaire contre la gentrification opérée donc sur le dos du Patrimoine. L'amour est dans le près, Madame.
Alors que dire ? Alors que faire de cette politique qui a même l'ambition de devenir nationale puisque l'autre veut devenir Président de la République. On imagine la politique culturelle et urbaine qui ira avec.
Arrêtons de voter pour ces pseudo-politiques qui ne font que communiquer, que du spectacle, que de la gentrification sous les conseils de sociétés immobilières qui n'ont rien de populaire ou de gauche. Rien.
Pauvres jeunes architectes obligés de travailler pour de telles sociétés...On les plaint finalement. Leur petit espoir estudiantin de faire de belles choses réduit dans la tambouille du réel et de la nécessité de manger. Pauvreté des ambitions, ravage des désirs éteints et devenus complices de la laideur du Monde.
Monsieur Mayer-Rossignol, Thomas Joly aurait pu participer à cette grande fête de l'éradication de ce Patrimoine. Non ? avec un feu d'artifices de la gentrification !
Quelques liens qui libèrent :
On notera "l'impartialité" du journaliste....
https://archipostalecarte.blogspot.com/2014/12/grand-quevilly-la-honte.html
https://archipostalecarte.blogspot.com/2014/10/le-diocese-marc-massion-et-bernadette.html
https://archipostalecarte.blogspot.com/2021/11/palais-des-consuls-pour-les-bourgeois.html
https://archipostalecarte.blogspot.com/2025/04/la-main-de-fatima-risque-detre-bien.html
https://archipostalecarte.blogspot.com/2020/08/aitre-ou-ne-plus-etre-scandaleuse.html
https://archipostalecarte.blogspot.com/2024/10/laffaire-du-foyer-moise-lenfer-pavee-de.html
* on notera que deux îlots ont été parfaitement requalifier et que c'était donc...possible...autre temps, autre politique culturelle et urbaine...2009
https://www.amc-archi.com/article/experimental-et-durable.29213
samedi 5 juillet 2025
Système béton archéologie
vendredi 27 juin 2025
Ionel Schein fut brutaliste à Angers
Cette carte postale pourrait à elle seule résumer ce blog. Force d'une photographie à la chambre ayant redressé les verticales, un noir et blanc délicat, un isolement du bâti, une tour massive en béton, une grille magnifique, et un ciel blanchi comme tentent de le faire encore (après les Becher) tous les photographes contemporains de la dernière heure.
La radicalité de cette Tour Viollet à Angers est un pur chef-d'oeuvre du hard-french et du brutalisme à la française, c'est à dire peu spectaculaire dans ces atours mais vibrant d'abord de sa structure et de sa pensée architecturale. On sait qu'à Angers sévissent aussi les grottes de Kalouguine.
Ici, on dessine, on monte, on oppose, on brutalise rien moins que le ciel et c'est tant mieux ! Ah ! La joie de lever la tête, d'être un piéton au pied, heureusement surpris de la hauteur mais aussi du très beau traitement des espaces du rez-de-chaussée aujourd'hui...remplis, défigurés.
Et comme cela doit être un privilège que de monter dans les étages et d'avoir à la fois la vue comme aurait dit Raymond Roussel et l'étoile au front.
Bien entendu, je ne pouvais qu'avoir cette carte postale des éditions M. Chrétien à Angers dans ma collection. On note que cet éditeur nous donne bien la nomination de la Tour Viollet mais également le nom de l'un de ses architectes : Ionel Schein ! Rien moins ! Et les amateurs d'architecture de plastique, des utopies oubliées, des architectures étranges, ceux qui fréquentaient le FRAC Centre avec avidité il y a encore peu doivent se dire :
- Qui ? Pardon ? Ionel Schein ? Vraiment ?
Oui. Lui-même. Moi aussi ça m'a fait ça ! Mais pourquoi donc l'éditeur oublie-t-il de nommer aussi René-André Coulon et Yves Magnant alors même qu'il nomme les noms des constructeurs : établissement Brochard et Gaudichet. Et pourquoi, une fois encore oublier de nommer Jean-Michel Lestrade l'ingénieur qui travailla avec les architectes et les constructeurs pour le calcul des charges ? Manque de place ? D'informations ? Modestie de l'ingénieur ?
En tout cas, cette très belle, imposante et importante historiquement Tour Viollet d'Angers est assez méconnaissable aujourd'hui. La façade fut reprise, le rez-de-chaussée comblé donc et l'allure générale est bien triste aujourd'hui, toute l'écriture des pleins et des vides écrasée, comme lissée. Quel dommage ! J'ai eu du mal à la reconnaitre. Mais comment se fait-il que dans tous mes voyages à Angers je n'ai jamais entendu parler ni vu ce beau totem de la Modernité ? Personne pour m'y emmener !
Il faudra donc faire descendre cette façade hideuse, redonner des volumes et des ombres à celle d'origine, reprendre et réouvrir le rez-de-chaussée, préserver l'auvent-signal de l'entrée, revoir l'implantation globale de la Tour Viollet. On demande à Lacaton et Vassal de nous faire ça ? Allez ! Venez ! On a besoin de vous.
On notera que la Tour Viollet (orthographiée Violet) est bien répertoriée dans le guide de mon très cher Dominique Amouroux.
Walid Riplet.
Pour revoir L'architecte René-André Coulon sur ce blog :
https://archipostalecarte.blogspot.com/2018/11/je-hais-la-famille.html
https://archipostalecarte.blogspot.com/2018/06/1023-endormis-au-moins.html
Pour revoir Ionel Schein :
https://archipostalecarte.blogspot.com/2019/03/jocelyne-lestrade-pose-dans-la-cabine.html
https://archipostcard.blogspot.com/2009/11/paris-construit.html
https://archipostcard.blogspot.com/2008/11/pour-joachim-la-rue-dulm.html
https://archipostcard.blogspot.com/2008/09/claude-parent-des-livres-chapitre-1.html
lundi 23 juin 2025
Bulles six coques en musique radieuse
A eu lieu samedi, lors de la fête de la musique, l'ouverture de la Quinzaine Radieuse de Piacé. Vous savez comment je me suis impliqué avec ardeur dans ce lieu qui a su accueillir la première bulle six coques que vous pouvez voir maintenant au milieu de deux autres (ce qui est exceptionnel en France).
Cette année, c'est vrai sous la pression d'un manque totale de subvention de la Région Pays-de la Loire, l'association a su malgré tout maintenir son maximum. Peut-être que cette édition est marquée par un certain sentiment de retrouvaille d'artistes bien connus du lieu ayant pour certains déjà ordonné il y a quelques années cet événement.
Il ne s'agit pas à proprement parlé d'un essoufflement mais d'un ajustement qui d'ailleurs ne se voit pas trop car l'association sait faire comme d'habitude de belles choses avec peu, ce qui ne devrait pas justifier le manque de soutien de la Région Pay de la Loire.
Alors, sous une belle chaleur obligeant à visiter autant le torrent rafraichissant du moulin que les lieux d'expos ou les chemins ombrés à la recherche des oeuvres d'art perdues dans la campagne, la fête a tout de même eu lieu. La mobilisation des bénévoles qui sont aussi parfois eux-mêmes des artistes (qui savent s'oublier) a permis que la fête au village a pu donner de beaux moments. Pour ma part, comme gardien de salle et comme artiste (oui c'est possible), j'ai particulièrement gouté la présence de certains de nos étudiants accompagnés par David Michael Clarke et David Kidman qui ont fait un délicat concert, plein d'émotions parfois naïves, parfois solides dans une ambiance d'écoute bienveillante et attentive.
L'autre très belle surprise c'est bien entendu l'incroyable performance des musiciens de Elastic Systems qui nous ont proposé un set endiablé, joyeux, pop et entrainant. Ça recharge si bien les batteries ! Bravo à eux ! Quelle énergie revigorante ! Merci messieurs.
Il est toujours bien de voir que nos belles architectures savent s'accorder et faire paysage à autant d'énergie de bénévoles, qu'elles offrent un cadre de pensée et d'action dans la ruralité et que la joie d'un village s'exprime avec elles.
La petite troupe d'étudiants que j'ai littéralement baladés dans les rues du village à la recherche des pièces d'Art Contemporain avait aussi ainsi la chance de comprendre que la vie est faite de ce contact, que les idées de l'Art s'exprime dans la matière, dans des paysages, dans des bains décomplexés, dans le partage joyeux d'une certaine communauté soutenu par le travail de bénévoles volontaires.
Combien de temps cela durera ? Combien de temps les bouts de ficelles, les débrouillardises, la générosité des artistes permettront de maintenir cette action ? Qui le sait ? Parfois, on fatigue aussi.
Je vous conseille donc de venir voir la Quinzaine Radieuse, de venir vite. On ne sait jamais...
De l'architecture moderne, des micro-architectures, du Corbusier, de l'Art Contemporain, du design, un parcours en campagne, tout cela c'est par ici que ça se passe. Venez, venez avec vos enfants, venez avec vos étudiants. On vous attend.
Et merci à tous pour le travail d'organisation, de mise en place.
Wogenscky à peine lisible
Oh oui ! On pourrait bien passer à coté. On pourrait bien vite ranger cette carte postale dans le classeur en surpoids du Hard French en ne voyant là qu'une petite cité de plus dans la production française d'après-guerre. Il faut le dire rien de bien particulier nous attache à cette image aérienne, cette carte postales des éditions Combier.
jeudi 19 juin 2025
Corbu : le détail pour le tout
Dans une époque trouble où le Brutalisme est devenu un machin en vogue qui décore des pubs de parfum, un ramassis de lieux épars que des photographes contemporains redécouvrent tous en même temps, que ce Brutalisme est devenu mainstream et s'épuise sur Instagram, il serait bon d'en reprendre les bases, de mieux saisir ce qui lui appartient en terme historique, dans sa filiation réelle. C'est peut-être un travail trop compliqué pour moi tout seul...
Voilà qu'une carte postale de ce couvent d'Eveux dessiné par Le Corbusier m'en donne un peu l'occasion. Je regarde fixement cette photographie d'un détail du couvent, je laisse mes yeux oublier mon admiration automatique comme pour re-voir ce qui se passe là vraiment de si surprenant. Une fois le lyrisme passé, celui des courbes libres, on s'aperçoit que :
Putain ! Que c'est mal fichu ce morceau ! Non mais regardez moi cette ligne bien plus faite de segments que d'une courbe bien dessinée, regardez-moi ces "canons de lumière" dont aucun n'affiche un cercle parfait ! Regardez-moi ces tuyaux si imparfaits dans leur dessin qu'on les dirait dessinés par un enfant en overdose de Nutella. Purée ! Quand même...c'est vachement bricolé en terme de dessin ! Les coffreurs ont-ils travaillé sans surveillance ? Ont-ils eu le droit à une certaine mollesse dans l'interprétation du plan du Maître ? Et comme l'épiderme du béton est en accord avec ce manque total de fermeté, on se demande quelle urgence a poussé les constructeurs à autant d'abandon d'une certaine tenue plastique. On pourrait parler d'une esthétique de la mal-façon !
J'imagine bien que le verrier qui a dessiné et posé les lucarnes a du pester contre ces formes irrégulières ! Et que fait la goutte d'eau qui glisse sur le verre quand elle arrive à la jointure avec béton ? Comment cette étanchéité a du poser là des problèmes bien sympathiques...
Oui, le Corbusier, tout en étant l'un des pères de ce genre d'écriture à la fois relâchée dans l'exécution et déterminée dans la fonction pourrait bien être le premier jalon de l'écriture brutaliste. Je ne fais qu'enfoncer une porte largement ouverte. Mais si on regardait le Couvent de la Tourette à l'aulne de la mal-façon, en cherchant partout les défauts, c'est à dire ce qui déborde et ce qui est abandonné, on pourrait s'amuser à réécrire ce couvent avec un béton bien lisse, des formes franches et nettes (j'ai envie de dire plus calculées que dessinées) des raccords invisibles entre les coulées, un banchage qui arrête de trop bavarder, des volumétries plus sèches. Je fais semblant de ne pas savoir, excusez-moi.
Mais que voulez-vous ici je m'interroge plus sur la réception des images que sur les origines de la pensée des formes qui les construisent et il est parfois possible d'y voir (littéralement) ce qui n'est plus reçu. Car cette carte postale expédiée vers un hasardeux correspondant pourrait louper sa cible et se trouver dans les mains d'un regard ne comprenant pas ici la fameuse poétique de ce qui est indicible ou...trop affirmé...
Un morceau de béton recouvert d'herbes folles, comme un bunker abandonné, reçoit sur son toit trois gros tuyaux mal fagotés qu'on dirait posés au hasard. Les maçons, ces salauds, ont coffré sans grâce et toute la peu de béton affiche les coulures, les strates, le banchage. Quel travail de cochons ! Oui, c'est bien ce que celui qui reçoit cette carte postale pourrait penser.
Comment, nous, les corbuséens avons appris (et par qui ?) que c'est bien là non pas une ruine imitée mais bien un geste bavard qui raconte son amour du frustre et du simple ? La poésie du brut ? Une certaine idée de la Vérité des matériaux ? Une éthique ? Allez...
Et ceux qui connaissent le lieu peuvent aussi se demander : mais quelle acrobatie a du faire le photographe pour voir ce moment ? Comment il a du passer son corps par dessus le parapet du toit-terrasse pour voir ainsi ce morceau. Rien là de naturel à cet angle de vision. Ce qui pourrait expliquer notre étonnement à ce dessin. Le regardeur qui visite Eveux n'est pas invité de manière naturel à voir ainsi ce détail. Il lui faut aussi, à lui, le construire et ce n'est que la photographie qui nous permet si facilement de nous laisser croire à son accessibilité. Regardez la bande fine sur la droite de la photographie : c'est l'épiderme du mur qui frotte le cadrage.
Car nous sommes aussi assez nombreux à aimer le couvent de la Tourette presque malgré nous qui pourtant, venons là en pèlerinage. Car si nous ne nous décidons pas à basculer du coté de cette vérité poétique d'un béton et d'une architecture brute, alors il pourrait bien y avoir là un bloc raide, rugueux, sévère, réche écorchant les mains qui caressent l'épiderme, brisant sous le ciel la lumière absorbée par ce gris matiériste de la bâtisse. Faut quand même en avoir envie non ? Et la rigueur morale sous-entendue dans ce moment architectural qui se veut religieux ne laisse que peu de place à une forme de tendresse émolliente certes mais aussi parfois nécessaire. Ah ! Les joies simples d'une miche de pain dans une corbeille en osier ! Ah ! le plaisir du verre d'eau bien fraiche ! Ou, caricature de la caricature, l'assiette de grès du potier du coin remplie d'une potée paysanne...cette rigueur presque zen de la satisfaction du simple.
Je ne sais plus très bien pourquoi je m'égare ainsi dans cette contemplation d'une carte postale. N'ai-je pas mieux à faire ? N'ai-je pas un monde à parcourir pour de vrai, dans le réel de mes sensations ? Pourquoi penser ainsi qu'un détail vaudrait pour un tout ? Je sais que savoir aimer cette orientation à une forme économe du Monde me donne des joies dont je sais que je les dois à le Corbusier. Là, en face de moi, dans la chambre de cette maison Phénix depuis laquelle je vous écris, se dessine sur le mur en face de moi, un trapèze parfait tracé par le soleil encore à l'Est passant par la fenêtre. Cette projection géométrique et lumineuse me fera la journée. Dans ce trapèze de lumière, sont prises au piège les ombres mouvantes des feuilles de mon cerisier. Ça danse doucement. Doucement. Je suis vivant. Merci le Corbusier.
Par ordre d'apparition :
- carte postale sans nom d'éditeur, n'est mentionné que le cliché de Mory. Pas de date.
-carte postale sans nom d'éditeur, n'est nommé que Cellard à Bron pour ce cliché aérien. on connait bien Cellard sur blog qui a produit des cartes de photographie aérienne.
On note que les deux cartes postales nous montrent un couvent dont les travaux sont tout juste finis. Vous trouverez sur ce blog, sans difficulté, de très nombreuses autres cartes de Eveux.