samedi 14 mars 2020

Être, aller, voir : Le Mans 1

Que de belles journées !
Hier s'est achevé l'atelier avec Sylvain Bonniol. Nous devons ici le remercier pour son implication, son énergie incroyable et ses compétences, généreusement offertes aux étudiants.
Vous pouvez voir tout ce travail sur le compte Instagram suivant :

les.vues.du.mans.qui.manquent

























Comme promis, j'ai pu aller voir deux lieux encore inconnus pour moi et c'est toujours heureux les rencontres vraiment désirées. L'énergie de Sylvain Bonniol m'a comme autorisé à aller voir, voilà qui est important. Important aussi de bien tenir la technique photographique, de ne pas nier son importance pour construire une image. J'ai été, si on en croit les images qui suivent, un bien mauvais étudiant !

Avec Lise Davy, excellente dessinatrice, nous sommes donc partis tous deux vers la grande barre proche de la gare. Et aussi incroyable que cela puisse paraître je n'avais jamais vraiment regardé ce beau et même titanesque morceau de Hard French au Mans... Certainement trop centré sur la barre Le Couteur, j'en avais occulté l'importance. Pourtant... Quel morceau !
Son implantation est assez incroyable car elle oppose deux façades, l'une au Sud l'autre au Nord. Ce qui est surprenant c'est que la façade nord impose son horizontalité dans un terrain en pente ce qui rend nécessaire la construction d'une passerelle au-dessus du vide et l'invention d'un immense fossé qui donne à notre barre une allure de vaisseau amarré à sa cale ou à un quai de port maritime. Incroyable beauté.
La construction est en bon état, nous n'avons par contre pas pu entrer ni sur son terrain ni sur ses coursives... L'ensemble est maintenant ceint d'une clôture à digicode.  On s'amuse à retrouver le point de vue de la carte postale. Le pignon, si on se met bien en face, pourrait nous laisser croire que nous sommes devant une tour et non devant une barre.
Malheureusement, nous n'avons trouvé aucune plaque ou information sur le ou les architectes de ce magnifique vaisseau amiral du Hard French. On va trouver.

La suite au prochain numéro.















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