samedi 9 décembre 2023
Non, Monsieur Hammache, le centre commercial de Claude Parent...
mardi 28 novembre 2023
Le Mirail en danger ! Signez l'appel !
lundi 16 octobre 2023
Peter Downsbrough agace l'oeil
Voici donc le restaurant universitaire de Dijon. L'aplat du bleu du ciel discute avec franchise avec ce bloc. On note ici la force aussi du mur-rideau brillant et glacé. J'adore cette belle boite.
Voici le Palais de la Foire de Dijon et sa spectaculaire entrée principale. L'architecte est Monsieur Barade qui n'a vraiment pas démérité en terme de jeux des formes, plaisir des matériaux, champ géométrique. C'est un signe, un signal, un spectacle nécessaire.
Voici le lac Kir et au fond une cité. L'éditeur nous indique que les architectes sont Georges Massé et Gabriel Parlos. Nous, On les remercie.
lundi 9 octobre 2023
L'autre maison expérimentale de l'Abbé Pierre
Le document est à lui seul suffisamment éloquent et bavard pour que, presque, nous n'ayons rien à dire. Les plus férus d'entre vous auront reconnu le lieu et l'architecture car, même si le document n'est ni situé ni daté, il est facile de le replacer.
Comment ce document est arrivé chez Lestrade et bien cela restera une énigme comme beaucoup d'autres. Jean-Michel Lestrade n'a jamais évoqué de collaboration avec cette technique, aucun courrier, aucune facture ne prouvent une quelconque participation de l'Agence Lestrade à ce spectaculaire chantier. Et ce n'est pas lui non plus qui a pris ce cliché. Sans doute donc, un témoignage d'un visiteur ayant envoyé ce document à son ami ingénieur. On fouille, on trie, on trouvera peut-être une réponse.
Si vous en avez une ....
Merci de ne pas copier ce document sans autorisation.
Walid Riplet.
Pour ceux qui n'auraient pas suivi :
https://archipostalecarte.blogspot.com/2022/05/des-bulles-de-beton-pour-les-sans-abri.html
https://archipostalecarte.blogspot.com/2019/08/labbe-pierre-et-sa-boule-zero.html
http://archipostalecarte.blogspot.com/2015/02/wallace-neff-est-gonfle.html
http://archipostalecarte.blogspot.com/2013/06/dair-et-de-beton-wallace-neff-dakar.html
http://archipostalecarte.blogspot.com/2013/07/le-sucre-en-morceau.html
mercredi 4 octobre 2023
Le Marché de Royan a besoin de vous et de mécénat
dimanche 1 octobre 2023
Henry Cobb, le génie des altitudes
La carte postale de Boston nous montre l'un des chefs-d'œuvres de l'architecture du XXème siècle, la John Hancock Tower dessinée par le célèbre Henry Cobb, grand maitre en tours dressées.
mercredi 27 septembre 2023
Tous autour de Renée Gailhoustet
Je me fais le relais d'une manifestation autour de Renée Gailhoustet et de la Maladrerie, l'une de ses très grandes réussites. Voilà un beau programme et une journée qui s'annonce magnifique. Toute manifestation qui permet de mettre en valeur le travail de Madame Gailhoustet et de maintenir toutes ses particularités est la bienvenue.
Belle architecture, belle énergie !
Passez une belle journée !
mercredi 13 septembre 2023
Journées Européennes du Patrimoine c'est inutile ?
Et si le dossier de l'église de Serqueux devenait un emblème de la gestion du Patrimoine en Normandie et en France ?
dimanche 10 septembre 2023
Rien qu'un petit morceau de Flaine
lundi 4 septembre 2023
Club Roussakoff Melnikoff Klub Russakow Melnikov
samedi 2 septembre 2023
Attention au Droit d'Auteur !!!! La fin prochaine de ce blog ?
Suite à une longue et très chaleureuse conversation avec Monsieur Meauxsoone photographe notamment de cartes postales pour l'éditeur Théojac, je lui ai promis de rappeler l'usage des images et du droit d'auteur qui y sont reliés.
En effet, les cartes postales ont des auteurs, des photographes et des éditeurs qui seraient donc en droit de demander leur dû sur une publication. Il faut donc être extrêmement vigilant qu'en à l'usage que vous pourriez (et que je pourrais également) faire de ces photographies.
Vous le savez, pour ma part, ce blog a comme objectif entre autre de rendre justement hommage à ce travail de photographes de cartes postales que trop souvent on assimile à un travail anonyme simplement parce que les éditeurs ne nomment que rarement l'origine et l'auteur de leurs clichés. Il arrive que parfois, au dos, figure le nom du photographe mais c'est vrai que dans l'ensemble, il n'y a rien de marquer permettant de retrouver les photographes, leurs ayant-droits, voir même les éditeurs depuis longtemps disparus. C'est pour mettre en valeur ce travail des photographes que, pour ma part, je nomme systématiquement le nom des photographes et des éditeurs dans mes articles et que, lors de prêts pour des publications, j'exige aussi que leur nom figure dans l'édition.
Je tiens à ce que toujours les images soient sourcées. C'est ce cher Didier Mouchel qui m'avait appris cette exigence. C'est donc une forme éthique et morale à laquelle je tiens particulièrement.
C'est grâce à cette nomination systématique que j'ai pu rencontrer des architectes et des photographes et avec Monsieur Meauxsoone nous avions pu nous trouver grâce à cela il y a bien longtemps maintenant (10 ans !) grâce à un article sur la Grande Motte écrit sur l'un de ses superbes clichés.
Le problème est sans doute moindre pour l'édition papier car une capture d'écran est moins facilement reproductible. Quoique...C'est pour cela que je suis obligé lors de la demande d'un scan par des éditeurs de refaire celui-ci sous un format plus solide. J'exige alors systématiquement que les sources soient nommées. Le problème, bien entendu, c'est surtout pour le numérique et le halo Internet où une capture d'écran suffit pour un passage d'un site à l'autre. Je vois ainsi souvent les images de mon blog voyagées et migrées vers d'autres sites. Et marquer l'image ne sert que le primo-publiant mais ne protège pas l'auteur, bien entendu.
Nous voyons donc très souvent des personnes venir sur ce blog et se servir des images sans autorisation de ma part et encore moins de celle des photographes. Ainsi Monsieur Meauxsoone lors du regain d'intérêt pour le Kyklos a vu ses photographies éditées, copiées sans son autorisation dans la presse et des sites pourtant informés des droits d'auteur. C'est un exemple mais il pourrait y en avoir plein d'autres même si la réglementation tente de resserrer justement cette vigilance. Voir les liens donnés par Monsieur Meauxsoone ici :
https://digital-strategy.ec.europa.eu/fr/policies/copyright-legislation
C'est vrai aussi que la loi pourrait sembler flou. En effet, comment justifier que l'on demande à des personnes faisant du contenu critique et historique, tentant de valoriser justement le travail des photographes de respecter ces droits alors que des sites comme Instagram, Facebook, Pinterest ou même les sites marchands de ventes aux enchères de cartes postales publient ces cartes et parfois pour les vendre sans aucune nomination de leurs auteurs. Il suffit alors d'une capture d'écran pour multiplier la diffusion sans justifier des droits d'une photographie.
Il va donc falloir prendre une décision pour ce blog. Peut-on continuer ainsi à produire du contenu critique et historique si pour chacune des cartes postales il faille faire la recherche parfois ardue des ayant-droits ? Dans l'absolu, oui il le faudrait. Et comment faire quand justement, il s'agit de retrouver et donc ré-attribuer le photographe à l'origine du cliché ?
Dois-je faire ce blog sans aucune image ? Ou seulement en l'envoyant par courriel à mes lecteurs ?
Vous comprendrez que cela ne sera pas possible, je vais donc si la loi se resserre devoir sans doute arrêter ce blog voir même l'effacer dans sa totalité.
Ce qui sera alors dommage c'est bien que le travail de popularisation, d'analyses historiques et critiques ne sera alors plus possible et la mise en avant justement des archives photographiques se perdra sans moyen de communiquer et d'échanger sur le renouveau de valeurs artistiques de ce travail. Comment faire ? Je ne suis pas sûr d'avoir l'énergie de défendre et soutenir une telle position. Peut-être qu'il vaut mieux alors que les photographes et leur travail restent définitivement sans lumière au fond des boites à chaussures sur les vide-greniers.
Pour ma part, je ne publie QUE des cartes postales qui sont PHYSIQUEMENT dans ma collection et souvent, voyant les pratiques des autres, je me dis que je suis vraiment stupide. Mais c'est le début du respect de l'auteur et aussi celui des droits du collectionneur. Je ne fais jamais de scan ou de capture d'une carte que je ne possède pas physiquement.
Car, à part la petite renommée dans le milieu du Patrimoine d'un enseignant-chercheur allant de conférence en conférence dire que je considère ce travail de photographie comme essentiel à notre histoire et à ses archives, je n'ai rien à gagner pécuniairement à faire ce travail d'analyse, de narration. Si donc je n'ai pas grand chose à gagner, (mon blog est gratuit et n'a même pas de pub) je ne veux pas non plus que ce travail me coûte et être en permanence dans la suspicion d'un désaccord avec un ayant-droit. Je jetterais donc l'éponge.
Ici, toute modestie gardée, comme Aby Warburg, je construis une collection c'est à dire que je construis des relations entre les images. Pas un Fonds photographique à usage commercial.
Tant pis donc pour l'histoire d'un art populaire, tant pis pour tous les échanges joyeux avec les lecteurs, les architectes, les photographes, tant pis pour tout le travail de mise en lumière d'un Patrimoine architectural mal aimé, tant pis pour la défense que j'ai toujours pris pour le travail de ces photographes. La nuit retombera sur ma collection qui restera privée.
Exemple en trois images et en trois clics de ce qu'il est possible de faire. Comment imaginer que des sites marchands soient dans l'obligation de nommer les auteurs et encore plus de les rémunérer ? Quelqu'un a la réponse ?
Et cette méthode est belle et bien utilisée aussi depuis mon blog sans que je ne puisse rien faire d'autre que de rappeler que les images ont, justement des sources : photographes, éditeurs mais aussi collectionneurs.