tag:blogger.com,1999:blog-6386251216000714081.post1670125399489959334..comments2024-03-26T12:57:14.224+01:00Comments on Architectures de Cartes Postales 2: La place du photographe dans la banlieue et dans son histoireLiaudethttp://www.blogger.com/profile/15749618287753803130noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-6386251216000714081.post-41007588020602454882016-01-10T13:48:15.076+01:002016-01-10T13:48:15.076+01:00Je connais l’éditeur Raymon dont la fabrique se tr...Je connais l’éditeur Raymon dont la fabrique se trouvait à Bobigny. J'ai contacté il y'a quelques années le fils qui a repris l'affaire mais hélas le catalogue et toute les vielles cartes postales ont été bazardés , il me semble. Que de trésors chez cet éditeur dont pas mal de clichés sont de purs chef d’œuvre. Rarement la banlieue ( et spécialement la seine saint denis ) n'ont été aussi joliment figé dans le temps.<br /><br />NasserAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6386251216000714081.post-63719225861524583772016-01-10T02:03:57.061+01:002016-01-10T02:03:57.061+01:00SIEMP, Immobilière 3F et autres
R. Lopez et G. Tou...SIEMP, Immobilière 3F et autres<br />R. Lopez et G. Tourry, arch.,<br />H. Santelli, collab<br />« Dans le quartier de la Croix-Blanche, à Vigneux-sur-Seine, une diversification des quartiers est également recherchée par le groupement et la variation des volumes construits – tours (13, 18 et 23 étages), barres (3 et 4 étages), plots (4 étages), pavillons en bande.<br />Cependant, les constructions implantées sur de grandes parcelles sont desservies par des voies privées, souvent en impasse et mal reliées au réseau viaire communal.L’implantation des bâtiments est indépendante des limites parcellaires : leur orientation se fait en fonction de l’ensoleillement (façades orientées nord-est/sud-ouest ou perpendiculairement).Il n’y a pas de continuité urbaine car pratiquement aucun bâtiment n’estparallèle auxvoies(hormis les voies de desserte internes au quartier). Cette organisation urbaine est une négation de l’îlot et de la rue traditionnelle.<br />Les espaces extérieurs banalisés ne ménagent pas de transition entre l’intérieur (les logements) et l’extérieur, où tout est ouvert, d’accès public. L’absence de véritable traitement urbain ou paysager de ces espaces, parkings et espaces verts accentue l’impression d’abandon et de perte du sens de l’urbanité. » Trouvé sur Mémoire et projets en Essonne.<br />LECLERCQ URBANISTEnoreply@blogger.com